Saintongeoise de mariée
Mauzé sur le Mignon
Dentelle à l'aiguille
Saintongeoise de cérémonie
Mazin
Saintongeoise demi-deuil
Loulay
Saintongeoise demi-deuil
St-Jean d'Angély
Champanais de grand deuil
Châteauneuf sur Charente
Pèleboise de cérémonie
Thorigné
Champanais de tous les jours
Gourvillette
Saintongeoise de mariée
Brioux
Saintongeoise
Loulay
Barbichet de cérémonie
Brigueuil
Champanais de jeune fille
Matha
Saintongeoise demi-deuil
Mauzé sur le Mignon
Coiffe carrée
St-Hilaire des Loges
Saintongeoise de jeune fille
Aulnay
Saintongeoise de grand deuil
Mauzé sur le Mignon
Champanais de grand deuil
Malaville
Saintongeoise de cérémonie
Aubigné
Mothaise de cérémonie

Le fil, ténu
qui fait dans le jour
toute la dentelle
des rêves.

Les plis, les courbes
dans l'orbe du visage
toute la fragilité
du monde, le désir
qui suit la lumière
des femmes en allées.

Le mot " béguin " apparaît au XIIIe siècle aussi sous la forme " béguard ", il désigne des hérétiques qui, se croyant parfaits, refusent toute pratique de la religion et d'obéir aux princes. Le mot est parent de l'anglais to beg, mendier, en référence à la pauvreté voulue de ces gens.

Béguin donne béguine, une femme qui suit cette hérésie. Puis, les béguines désigne des religieuses des Pays-Bas qui, sans être tenues par des voeux, mènent une vie communautaire, elles portent un voile blanc. Cette coiffure va s'appeler béguin, et le mot par extension va désigner un petit bonnet.

Le béguin, simple bonnet à trois pans