Dans le mélange illimité de l'herbe du sable, les pas qui remontent du sol

Au printemps les margelles fleurissent, à travers bois on ne voit plus si bien la ligne à suivre
Dans le mélange de la terre le village sonne c'est la fin de ta jeunesse la pluie sépare les feuilles transies

Tu dis : ces mots qui s'entassent, respiration des arbres, rayures sur les pierres

Tu dis : quel étonnement au matin quand la bouche lance la buée dans le ciel clair