Champanais de jeune fille
Matha
Barbichet de cérémonie
Brigueuil
Saintongeoise de cérémonie
Aubigné
Saintongeoise de jeune fille
Aulnay
Pèleboise de cérémonie
Thorigné
Champanais de tous les jours
Gourvillette
Saintongeoise de grand deuil
Mauzé sur le Mignon
Coiffe carrée
St-Hilaire des Loges
Saintongeoise de mariée
Brioux
Mothaise de cérémonie
Saintongeoise demi-deuil
Loulay
Dentelle à l'aiguille
Saintongeoise de mariée
Mauzé sur le Mignon
Saintongeoise
Loulay
Champanais de grand deuil
Malaville
Champanais de grand deuil
Châteauneuf sur Charente
Saintongeoise de cérémonie
Mazin
Saintongeoise demi-deuil
Mauzé sur le Mignon
Saintongeoise demi-deuil
St-Jean d'Angély

Le fil, ténu
qui fait dans le jour
toute la dentelle
des rêves.

Les plis, les courbes
dans l'orbe du visage
toute la fragilité
du monde, le désir
qui suit la lumière
des femmes en allées.

Cette coiffe a été obtenue auprès de Madame Charles de Fontaine-Chalendray, elle provenait de sa famille de Coivert.

Dimensions
• passe plate : 8 cm
• fond : hauteur 21, 5 cm, largeur 18 cm

Découvrir le type de coiffe Territoire d'implantation de la coiffe
Vue de face Vue de l'arrière

 

Cette coiffe est caractéristique du grand deuil par sa sobriété, le bandeau de bonnette dissimulé par la passe plate. Mais cette sobriété demandait beaucoup de travail, entre autres, le plissage à l'ongle, appelé aussi plissage « à la poussette » qui exigeait selon une lingère de Lusseray de posséder trois ongles très longs qui permettaient de marquer progressivement les plis.

La coiffe est en toile fine de linon, typique des coiffes de deuil, avec un plissage en cœur extrêmement fin.
À l'arrière, l'ampleur est résorbée par un large pli central et trois plis symétriques de chaque côté.
Un petit nœud réalisé en simple galon sert aussi de cache-point tout autour de la coiffe.

La coiffe en détail

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