Champanais de jeune fille
Matha
Saintongeoise de jeune fille
Aulnay
Saintongeoise de grand deuil
Mauzé sur le Mignon
Saintongeoise de cérémonie
Mazin
Saintongeoise
Loulay
Saintongeoise de mariée
Mauzé sur le Mignon
Mothaise de cérémonie
Coiffe carrée
St-Hilaire des Loges
Champanais de tous les jours
Gourvillette
Saintongeoise de cérémonie
Aubigné
Saintongeoise demi-deuil
Loulay
Barbichet de cérémonie
Brigueuil
Pèleboise de cérémonie
Thorigné
Saintongeoise demi-deuil
Mauzé sur le Mignon
Dentelle à l'aiguille
Champanais de grand deuil
Malaville
Champanais de grand deuil
Châteauneuf sur Charente
Saintongeoise de mariée
Brioux
Saintongeoise demi-deuil
St-Jean d'Angély

Le fil, ténu
qui fait dans le jour
toute la dentelle
des rêves.

Les plis, les courbes
dans l'orbe du visage
toute la fragilité
du monde, le désir
qui suit la lumière
des femmes en allées.

Appartenance sociale

Il existait une version grand deuil en toile plissée à l'ongle et la pantine (élément) bordée d'un fin ruban de soie noire et une version demi-deuil en mousseline unie finement paillée. On trouvait également une version où la dentelle de pantine (élément) était orientée vers le visage.
La Pantine – la coiffe – était aussi nommée Cœur de Lezay par les habitants du village, mais les femmes de Chef-Boutonne l'appelaient La Pelle de four.

Demi_deuil
Coiffe de demi-deuil, Couhé-Vérac
Deuil
Coiffe de deuil, Couhé-Vérac

Antériorité

Il semblerait que ce modèle de coiffe soit très ancien, les femmes de cette région ont porté ce type de coiffe plus volumineux et plus travaillé dans sa conception : la pantine (élément) était cousue au fond de mousseline ou de tulle, le tout brodé plus finement que les modèles plus récents.