C’est mon grand-père, penché dans l’atelier de peinture au bout de la cour. Il a déjà peint à plusieurs couches le grand panneau de bois.
Quelques jours à Istanbul, pour éprouver cette mêlée des cultures qu’on pressentait, mais qu’on n’a rencontrée nulle part ailleurs.
C’est une photo, de celles que tu as gardées, un petit carré de papier ivoire aux bord gaufrés,
“ Comment nommer le malaise que nous ressentions ? Y avait-il encore quelque chose à dire, à faire ? ”